Une fable de tous les temps

Création d’Alessandro Solbiati pour voix, trio à cordes et percussion d’après une saynète de Cervantès.

Marcher sur le fil subtil qui évolue entre musique de chambre et théâtre musical, entre oeuvre musicale et pièce théâtrale, entre voix comme instrument qui donne forme et son à un texte et voix comme personnage, voici le point de départ de « Il n’est pas comme nous !
Une fable de tous les temps ».

Il fallait un texte – El Retablo de las maravillas – avec une signification profonde et un peu provocatrice qui soit aussi amusant et léger, où Cervantes produit une fable pleine d’ironie et de vérité amère, capable de faire sourire et grincer des dents à la fois.

Alessandro Solbiati

Prologue
Intermède 1/Scène 1
Intermède 2 /Scène 2
Intermède 3/Scène 3
Intermède 4
Epilogue

« Secousses »

Duo de théâtre musical pour voix et violoncelle.

Le public observe divers moments absurdes de la vie d’un être vaporeux, lui-même spectateur du déroulement de son existence.

Divers tableaux successifs, comme des réveils brutaux, sont saisis par le violoncelle et la voix.

On y entend parler de voyages, de dîner dans un restaurant, de réflexions et délires d’un homme semblant vivre toujours endormi.

« L’Homme qui faisait fleurir les arbres » est un conte traditionnel japonais mis en musique par Frédéric Pattar, compositeur d’aujourd’hui, tout public dès 6 ans, par l’Ensemble Atmusica (Tours).

Après Tours, Amboise, Romorantin, Bourges, Châtellerault, Chassignolles (36), Saint-Avertin (37), Blois, Vendôme, nous voulons continuer à faire fleurir les représentations.

Le sujet du spectacle, l’aspect poétique qui s’en dégage et sa forme légère, nous permettant de nous adapter au lieu nous accueillant, même en extérieur, nous paraît aller de pair avec votre programmation.

« L’Homme qui faisait fleurir les arbres », pour récitante/chanteuse, harpe et percussions, joue avec l’imaginaire nippon pour en représenter un paysage sonore singulier et coloré.

Dans le Japon ancestral, deux vieillards s’apprêtent à passer un hiver rigoureux. La rencontre d’un mystérieux chien blanc va les entraîner à vivre des aventures tout à fait incroyables. Au fil de l’histoire, la harpe et les percussions peignent les paysages et les saisons, ponctuant le récit et l’agrémentant de nouvelles sonorités, créant un univers tantôt poétique, subtil et original, et tantôt dynamique et plein d’humour. Les voix des personnages, les lieux et les événements prennent vie dans l’imaginaire des spectateurs grâce aux multiples trouvailles musicales du compositeur : éléments de percussions venus d’orient, utilisation atypique de la harpe, objets associés aux instruments…

REMERCIEMENTS & TÉMOIGNAGES

Quelques lettres des classes et des élèves après les représentations:

En avril dernier, « L’Homme qui faisait fleurir les arbres » jouait au Conservatoire de Blois devant des élèves de l’école de Tourville. Nous avons eu la surprise de retrouver dans notre boîte au lettres des petits mots des enfants pour nous remercier de cette représentation et nous donner leurs impressions. Merci à Mohamed, Youssef, Hazal, Selma, Nathan, Fatoumata, Jawed, Mustafa, Adnan, Sevde et Aya pour leurs mots ! Merci aussi à leurs enseignantes !

Accordéon et cordes

Ce programme rapproche musique “savante” et musique “populaire” grâce à une formation originale et la présence de l’accordéon, instrument qui fait la preuve aujourd’hui de l’étendue de ses possibilités et force à sortir de tout sectarisme. Ainsi la chanson populaire chez Dvorák ou les Bagatelles chez Ligeti encadreront trois œuvres très récentes dont celle donnée en création de Frédéric Pattar

Frédéric PATTAR (1968) Eteignez en entrant – Commande-création ATMUSICA pour trio à cordes et accordéon.

Musiciens:
Anthony Millet, accordéon
Raphaël Jacob, violon
Nicolas Peyrat, alto
Delphine Biron, violoncelle

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