Concert reporté en raison du Coronavirus

Mardi 28 avril, 20h – salle Ockeghem

Retour aux origines avec deux instruments premiers de l’homme : la voix et la percussion. La voix explorée est femme et oracle, porteuse des interrogations de l’être humain sur son destin. Le dialogue entre les deux musiciennes s’établit par réplique ou écho, jeux de résonances, séquences improvisées.

Maurice Ohana
Sibylle pour soprano, percussion et bande (1968) 16’30’

Elliott Carter
Etude pour quatre timbales n°1 Saete (1949) 5’

François Bernard Mache
Trois chants sacrés pour voix seule, n°3 Maponos (1990) 8’

Tan Dun
Silk roads (1989)pour soprano et percussion, texte d’Arthur Sze 10’45

Jean-Claude Risset
Une aube sans soleil (1992) pour soprano et percussion, poèmes de Nathalie Michon 11’

Mathilde Barthelemy, soprano
Hélène Colombotti, percussion